Aude Chartier rejoint Steering Legal en qualité d’Associée pour renforcer sa pratique en droit fiscal et plus particulièrement en droit patrimonial

L’expertise d’Aude Chartier est essentiellement axée sur la fiscalité patrimoniale française et internationale des personnes physiques, en conseil et en contentieux.

Le droit patrimonial a été pour elle une évidence pour allier sa culture économique et scientifique à la complexité juridique des différentes structurations de projets dont elle a assuré la réussite, s’attachant à partager et à se mettre au service de ses clients.

Depuis plus de 10 ans, elle a ainsi développé son expertise dans les différents domaines que recouvre le droit patrimonial, à savoir : la fiscalité́ personnelle des cadres et dirigeants, la transmission d’entreprises, les managements packages, les successions, les régimes matrimoniaux, les transferts de résidence, la philanthropie, l’actionnariat salarié, etc.

Aude assiste régulièrement une clientèle privée, dirigeants, équipes de gestion de fonds d’investissement, entreprises familiales, grandes fortunes, dans la structuration de leurs revenus et actifs français ou étrangers et dans leur mobilité internationale.

 Pour Aude, le choix de rejoindre Steering Legal a reposé sur « un véritable coup de cœur pour cette équipe qui met l’humain et le dynamisme au centre de sa pratique et l’envie de participer au développement d’un projet collectif. J’ai été séduite par l’enthousiasme et la cohésion de l’équipe et sa volonté claire de faire évoluer collectivement le Cabinet. L’accent est mis sur l’excellence mais également sur le respect et la confiance, ce qui est primordial pour construire une relation en toute transparence ».

Pour Nuno de Ayala Boaventura et ses associés « l’arrivée d’Aude est une formidable opportunité pour nos équipes, tant en raison de ses qualités humaines, totalement en phase avec les nôtres, que par la qualité et l’importance stratégique de son expertise pour l’ensemble de nos offres ».

Aude rejoint l’équipe fiscale animée par Jean-François Bette.